A la SNECMA ces derniers jours, à l'usine VIBRACHOC, filiale d'Hutchison et Total, à KUHNE & NAGEL, à NORBERT DENTRESSANGLE, les salariés ont cessés le travail pendant plusieurs heures. Ils ont faits grève pour revendiquer des augmentations de salaires. Les salaires sont trop bas. Ils ne suivent pas le coût de la vie. Résultat : le pouvoir d'achat est en berne.
Une augmentation générale des salaire est à l'ordre du jour. Ce sont les salariés qui fabriquent les richesses et font tourner la société. Il est donc normal qu'ils en profitent également. Le SMIC à 1700 euros est une nécessité. En dessous, on ne vit pas, on survit.
Pour éviter une baisse constante du pouvoir d'achat à cause de la hausse du coût de la vie, il faudrait que les salaires soient indexés sur les prix : si ces derniers augmentent, les salaires suivent d'autant.
Cette mesure permettrait de préserver le pouvoir d'achat des classes populaires. Elle éviterait qu'elles ne tombent dans la précarité et ensuite la pauvreté.
C'est cela l'échelle mobile des salaires.
Pour éviter une baisse constante du pouvoir d'achat à cause de la hausse du coût de la vie, il faudrait que les salaires soient indexés sur les prix : si ces derniers augmentent, les salaires suivent d'autant.
Cette mesure permettrait de préserver le pouvoir d'achat des classes populaires. Elle éviterait qu'elles ne tombent dans la précarité et ensuite la pauvreté.
C'est cela l'échelle mobile des salaires.
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