Pendant que le
gouvernement nous paie avec des mots en promettant une diminution du
chômage pour… fin 2014 (après avoir promis la même chose pour fin
2013), des millions de travailleurs sont condamnés à l’inactivité, à des
revenus amputés, à l’exclusion sociale. Pourtant cette situation n’est pas une fatalité. Car dans le même
temps, les entreprises ont largement renoué avec leurs profits d’avant
la crise de 2008.
Prendre sur ces profits pour que tous les salariés aient un revenu qui permette de faire vivre convenablement leurs familles, en répartissant le travail entre tous les bras valides, voilà ce que la colère des travailleurs devra imposer.
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